Retour en images sur notre week-end avec l’ABBET des 14 et 15 octobre!
- Enrichir notre esprit
Que ce soit au musée européen de la bière à Stenay, où dans l’espace Chimay de l’auberge de Poteaupré, voilà un week-end placé sous le signe du savoir brassicole. De la fabrication de la bière elle-même, en passant par son embouteillage, sa commercialisation ou encore l’utilisation faite par Chimay des bénéfices dégagés, chacun a pu améliorer ses connaissances, qu’il soit simple amateur ou zythologue déjà reconnu 😉
Mention spéciale à notre guide Véronique qui a su passionner notre groupe avec ses commentaires ni trop simplistes ni trop érudits…qui nous ont d’ailleurs parfois bien servis lors de la partie de Beer IQ de la soirée !
Au fait, Gérard, quelle brasserie du Vermont produit la bière Sick Day pour les longues soirées d’hiver ???
- Étancher notre soif
Évidement, dans un week-end avec l’ABBET, il ne faut pas avoir le gosier trop étroit…
Quoi que nous nous serions peut-être passés des dégustations du musée européen de la bière, certes intéressantes mais peu savoureuses à notre goût.
Pas grave, nous nous sommes aisément rattrapés avec les Trappe et Rochefort apportées pour la soirée, et sirotées en joyeuse compagnie chez nos amis Cédric et Valérie.
Sans oublier bien sûr la dégustation de Chimay du dimanche. Les quatre breuvages de l’abbaye. Si bien sûr chacun a sa préférence, tout est bon dans le Scourmont!
- Admirer les couleurs de Scourmont
Y a pas, l’automne c’est idéal pour se balader dans les Ardennes.
Et l’abbaye de Scourmont, qui présente l’immense avantage d’être en partie ouverte aux visiteurs, est un lieu vraiment magnifique sous le soleil d’octobre, avec ses mille nuances de vert, jaune ou rouge illuminant la végétation du site.
Bref, comme promenade, un dimanche d’après libations, on fait difficilement mieux. L’occasion de découvrir au passage l’église abbatiale, le cimetière des moines, la brasserie perceptible entre deux arbres, et de vérifier la prospérité des lieux, impeccablement entretenus et mis en valeur.
- Perpétuer les traditions
C’est plus fort que nous…
Même quand notre camion roule nous ne pouvons pas manquer l’occasion d’unir nos efforts pour pousser celui des autres.
Et joie ! Le parking de l’auberge de Poteaupré était idéal pour embourber les véhicules les plus imposants !
Ni une ni deux donc, nous revoilà à jouer à notre sport favori.
Et Gérard d’une seule main s’il vous plaît. Quel homme.
On n’avait même pas besoin de cela pour avoir soif…
- Se défier palet en main
Enfin, en matière de sports nous en avons découvert de nouveaux, toujours à Poteaupré.
Un peu déçus avouons-le par la bourse aux collectionneurs d’objets trappistes, nous avons par contre pris du bon temps sur les stands de jeux dressés sous le soleil d’automne.
Du foot ou du hockey pour les plus fougueux, de la stratégie pour les grands sages, en passant par les jeux de palet pour les piliers d’estaminets, nous n’avons rien laissé de côté.
Toutes nos excuses de ne pas être passés le mardi suivant à la soirée jeu de l’association chimacienne organisatrice. Ce n’est pas l’envie qui nous en manquait, soyez-en sûrs…
- Découvrir le folklore local
Par contre nous n’avons pas manqué la rencontre avec les gardiens de la tradition locale, les hérauts du fromage grand cru et de la Chimay Première, les hommes dont Cédric est secrètement jaloux, bref, les membres de la jurade princière de Chimay.
Depuis les projets les plus fous nous habitent. Devons nous prendre le statut de confrérie ? Devons nous renoncer à nos caleçons « cherchez l’ABBET » pour confier le design de notre tenue d’apparat à Jean-Paul Gautier ? Comment concilier notre futur calendrier de nus avec ce vêtement de prestige ? Vos avis lèveront à coup sûr ces doutes qui nous hantent.
- Poser fièrement
En tout cas quelque soit la tenue où les projets que nous retiendrons dans les mois à venir, force est de constater que les membres de l’ABBET sont éminemment photogéniques et qu’ils éclaboussent de leur classe et de leur beauté les lieux qu’ils fréquentent.
- Solliciter le trésorier
Nico, c’est par une demande qui t’es adressée que nous achevons ce compte-rendu de voyage.
Certes les étapes sont régulières et la bière y coule à flot.
Mais entre celles-ci, sur la route, on a souvent soif. Ce qui, tu en conviendras, est tout de même fort de Gregorius pour une association comme la nôtre.
Voilà donc la solution.
Sors le chéquier.
On t’embrasse.